
L’histoire du nom des rues
Depuis 1782, les noms des rues genevoises sont inscrits sur les façades des bâtiments. Mais d’où viennent-ils?
Depuis 1782, les noms des rues genevoises sont inscrits sur les façades des bâtiments. Mais d’où viennent-ils?
En 1900, Marguerite Champendal devient la première Genevoise doctoresse en médecine. Elle a œuvré toute sa vie pour les mères et les nourrissons.
En 802, Charlemagne reçoit un cadeau diplomatique des plus prestigieux de la par de son allié abbasside: un éléphant blanc nommé Aboul-Abas.
Le capitaine Spelterini a effectué de nombreux vols en ballon au-dessus de la Suisse. Il aimait jeter des cartes postales du haut de sa montgolfière, à l’attention des journaux de son époque.
Le 1er août 1913, le naufrage d’un bateau-lavoir au Seujet coûte la vie à trois blanchisseuses qui y travaillaient ce jour-là.
Du XIVe au XXIe siècle, on trouve des paillettes d’or dans les rivières genevoises. Cela a amené les orpailleurs à y chercher fortune
Né au XVIIIe siècle le Chnif Chnof Chnorum est un jeu de cartes à mise, comme il en existe des centaines à cette époque.
Le 21 juillet 356 avant notre ère, un berger dont il est à jamais interdit de prononcer le nom brûle le temple d’Artémis afin de devenir célèbre.
Le Bout-du-Monde désignait à l’origine un lieu genevois difficile d’accès et à la frontière du Royaume de Sardaigne, coupé du monde par les falaises de Champel.
Née à Commercy en 1755, la madeleine est nommée en l’honneur de celle qui l’a fait découvrir au duc de Lorraine
Chanoine, révolutionnaire et professeur, Giovanni Gambini a voyagé au gré des révolutions européennes entre la Sicile et Genève.
En 1917, Genève inaugure le Mur des Réformateurs, un monument mettant en avant la Réforme et visant à promouvoir son histoire et les valeurs politiques et culturelles qu’elle a diffusé internationalement