Décrite par Blavignac en 1865, la marelle genevoise, nommée la clé, est un jeu d’enfants aux origines floues…
Le 1er mai 1951, un engin pyrotechnique met le feu au Grand Théâtre de Genève en pleine répétition de « La Walkyrie » de Richard Wagner.
Entre 1588 et 1618, Michelle Nicod est à la fois libraire, éditrice, imprimeuse et gérante d’un atelier de reliure à Genève. Elle dirige seule son affaire et obtient le titre « d’imprimeuse de la République ».
Déposées par le retrait du glacier du Rhône il y a 19’000 ans, les Pierres du Niton ont marqué le paysage genevois, par leurs légendes et leur utilisation scientifique.
A Genève, de nombreuses rues portent un nom en lien avec le loup, ses incursions passées dans la campagne genevoise et la peur qu’il suscitait.
Le duc Charles II de Brunswick a passé les 3 dernières années de sa vie à Genève, après une existence mouvementée. Il lègue la totalité de sa fortune à la ville, en échange d’un imposant mausolée
Jean-Daniel Blavignac est un architecte, archéologue et historien genevois, qui a entre autres publié une étude complète sur la comptine de l’Emprô genevois.
La rue Chantepoulet tire ses origines du XVIe siècle, à une époque où l’on entendait chanter les coqs au milieu de la ville…
Dans la nuit du 16 au 17 février 1985, plus de 50 cm de neige sont tombés en quelques heures. Genève s’est retrouvée immobilisée en un week-end.
La rue du Léopard et la rue des Caroubiers ont été nommées selon le blason de la ville de Carouge. Cependant, il s’agit d’erreurs suite à une mauvaise lecture .
Après un siècle de lutte pour leurs droits et de nombreuses lois et initiatives rejetées, les femmes obtiennent le droit de vote en Suisse en 1971.
En 58 avant J.-C., César mentionne Genève dans ses « Commentaires sur la Guerre des Gaules ». C’est la première mention écrite de Genève. Elle est gravée depuis plus d’un siècle sur la tour de l’Île.