Les hommes ont toujours aimé imaginer le futur. C’est un sujet de littérature, d’art et de musique très exploité. Au XIXe siècle, on rêve beaucoup à la date de l’an 2000.
Le 18 avril 1930, la seule phrase du bulletin d’informations de la BBC est: « Aujourd’hui, il n’y a pas de nouvelles »
Les pièces de 50 centimes suisses sont frappées comme « 1/2 franc ». Elles sont le souvenir d’un ancien système monétaire, où les francs étaient subdivisés en demi et quart de francs.
Déposées par le retrait du glacier du Rhône il y a 19’000 ans, les Pierres du Niton ont marqué le paysage genevois, par leurs légendes et leur utilisation scientifique.
Les œufs et le lapin de Pâques tirent leurs origines de l’Antiquité, où ils étaient considérés comme des symboles de vie, de renouveau et de fertilité.
En 1942, Paul Eluard, poète et résistant, publie clandestinement le poème « Liberté », une ode à la liberté et contre le nazisme.
Parmi les recettes écrites en 1914, plusieurs ont comme ingrédient principal des restes de pain, afin de ne rien gâcher en temps de guerre.
A Genève, de nombreuses rues portent un nom en lien avec le loup, ses incursions passées dans la campagne genevoise et la peur qu’il suscitait.
Avant sa popularisation par l’informatique, le tic-tac-toe ou morpion est un jeu antique joué dès 1300 avant notre ère, et très populaire durant la Rome Antique sous le nom de Terni Lapilli
Le 20 mars 2013, les Nations Unies instaurent la journée internationale du bonheur. Celui-ci est considéré comme l’un des objectifs fondamentaux de l’être humain.
Le duc Charles II de Brunswick a passé les 3 dernières années de sa vie à Genève, après une existence mouvementée. Il lègue la totalité de sa fortune à la ville, en échange d’un imposant mausolée
Jean-Daniel Blavignac est un architecte, archéologue et historien genevois, qui a entre autres publié une étude complète sur la comptine de l’Emprô genevois.