L’histoire du nom des rues
Depuis 1782, les noms des rues genevoises sont inscrits sur les façades des bâtiments. Mais d’où viennent-ils?
Depuis 1782, les noms des rues genevoises sont inscrits sur les façades des bâtiments. Mais d’où viennent-ils?
En 802, Charlemagne reçoit un cadeau diplomatique des plus prestigieux de la par de son allié abbasside: un éléphant blanc nommé Aboul-Abas.
Le capitaine Spelterini a effectué de nombreux vols en ballon au-dessus de la Suisse. Il aimait jeter des cartes postales du haut de sa montgolfière, à l’attention des journaux de son époque.
Le 21 juillet 356 avant notre ère, un berger dont il est à jamais interdit de prononcer le nom brûle le temple d’Artémis afin de devenir célèbre.
Née à Commercy en 1755, la madeleine est nommée en l’honneur de celle qui l’a fait découvrir au duc de Lorraine
En 1917, Genève inaugure le Mur des Réformateurs, un monument mettant en avant la Réforme et visant à promouvoir son histoire et les valeurs politiques et culturelles qu’elle a diffusé internationalement
Présents à Genève durant près d’un siècle, les Burgondes ont laissé un héritage encore visible aujourd’hui
Le 2 juin 1884, une statue rendant hommage au Général Guillaume Henri Dufour est inaugurée à la Place Neuve.
Photographe, vendeuse, militante et anarchiste, Ruth Bösiger a été de toutes les luttes sociales genevoises, sans pour autant laissé de traces dans l’histoire genevoise. Une place lui rend aujourd’hui hommage.
En 1387, Adhémar Fabri, évêque de Genève, confirme les libertés de Genève, qui confèrent à ses citoyens de nombreux droits civils.
En 1942, Paul Eluard, poète et résistant, publie clandestinement le poème « Liberté », une ode à la liberté et contre le nazisme.
Le duc Charles II de Brunswick a passé les 3 dernières années de sa vie à Genève, après une existence mouvementée. Il lègue la totalité de sa fortune à la ville, en échange d’un imposant mausolée